Profession : médium ?

Métier, profession, travail, je ne réponds pas aux codes et standards et je m'en fiche royalement !

Je souris en voyant la tête du lecteur des fiches de renseignements scolaire ou administratif...

Je ne vais pas mentir où cacher qui je suis mais j'ai du apprendre à m'adapter aux réactions :

. l'humour "Ah bon ? Non mais c'est vrai ?",

. le silence "Mental en alerte et en questionnement",

. la peur "Qu'est ce qu'elle voit sur moi ?",

. la curiosité "Tu peux me dire si je vais trouver quelqu'un?",

ALERTE INFO : je ne passe pas ma vie à "capter les informations extérieures présentes", je canalise quand j'ouvre la porte de mon cabinet où lorsqu'en conscience je le fais ponctuellement.

Une vie est un jardin secret, je ne me permets pas de rentrer sans autorisation chez les autres.

Mes antennes sont fermées dans le quotidien, dans ma vie familiale et amicale...

Je n'ai jamais aimé les cases, autant dire que je ne suis pas ok non plus avec celle dans laquelle on classe les médiums : chacun à ses particularités, ses connexions, ses sensibilités...

J'ai une connexion quasi exclusive à la source, c'est à dire que je suis très rarement en lien avec une âme qui n'est pas montée à la lumière, je ne suis pas connecté sur la "station" bas astral.

Pourquoi ? Car mes fréquences sont paramètres ainsi et c'est juste pour la place que j'ai. Je passe des messages d'une dimension à une autre, je m'occupe des âmes incarnées en transmettant et en réveillant.

Je n'autorise pas les énergies à passer par mon corps pour parler où écrire, elle m'envoie des messages et je mets mon mental en OFF pour retranscrire les émotions, phrases, sensations physiques...

J'ai parfois quelques "sms" (comme j'aime à les appeler) qui arrivent, on me retire le mode avion car ce message dois être délivré. Les guides et défunts se servent de mon antenne pour que le message soit donné dans la matière car la personne à des œillères sur ce qu'on lui envoi.

J'exerce ma vocation, j'ai la chance et le bonheur de pouvoir offrir au monde un bout de moi.

Une énergie viscérale, un appel auquel j'ai fais le choix de répondre car c'est ma juste place.